L' Ecole des maris ; L'Ecole des femmes ; La Critique de l'Ecole des femmes ; L'Impromptu de Versailles |
Auteurs | Molière (Auteur) Serroy, Jean (Editeur Intel.) |
Collation | 1 vol. (346 p.) |
Illustration | couv. ill. en coul |
Format | 18 cm |
ISBN | 978-2-07-287052-1 |
Langue d'édition | français |
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 | |
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Contient :
L' Ecole des maris L' Ecole des femmes La Critique de l'Ecole des femmes L' Impromptu de Versailles
L'Ecole des femmes, qui enrichit la satire formulée dans L'Ecole des maris un an plus tôt, est un laboratoire. Elle a donné lieu à La Critique de l'Ecole des Femmes, mise en scène tranchante des débats que la pièce a suscités. Puis à L'Impromptu de Versailles, qui évoque ironiquement la réception de la Critique elle-même. Quatre pièces dans lesquelles Molière dénonce le ridicule de ceux qui croient à leur rôle au point de s'y tenir. A l'hypocrisie du théàtre social, il oppose le secours de la comédie. Parfois négligées, les trois pièces offertes en regard de L'Ecole des femmes montrent pourtant un Molière qui s'engage dans la défense de sa pièce, allant jusqu'à se mettre lui-même en scène. Car c'est bien en homme de troupe que Molière perçoit les rôles que les uns sont prêts à jouer et que les autres s'apprètent à trahir."
L' Ecole des maris L' Ecole des femmes La Critique de l'Ecole des femmes L' Impromptu de Versailles
L'Ecole des femmes, qui enrichit la satire formulée dans L'Ecole des maris un an plus tôt, est un laboratoire. Elle a donné lieu à La Critique de l'Ecole des Femmes, mise en scène tranchante des débats que la pièce a suscités. Puis à L'Impromptu de Versailles, qui évoque ironiquement la réception de la Critique elle-même. Quatre pièces dans lesquelles Molière dénonce le ridicule de ceux qui croient à leur rôle au point de s'y tenir. A l'hypocrisie du théàtre social, il oppose le secours de la comédie. Parfois négligées, les trois pièces offertes en regard de L'Ecole des femmes montrent pourtant un Molière qui s'engage dans la défense de sa pièce, allant jusqu'à se mettre lui-même en scène. Car c'est bien en homme de troupe que Molière perçoit les rôles que les uns sont prêts à jouer et que les autres s'apprètent à trahir."
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