Double assassinat dans la rue Morgue ; La lettre volée |
Compl. Titre | nouvelles |
Auteurs | Poe, Edgar Allan (Auteur) Cartier, Marie (Editeur Intel.) Duguet, Valérie (Editeur Intel.) |
Edition | Larousse : Paris , 1999 |
Collection | Petits classiques Larousse N°57 |
Collation | 175 p. |
Illustration | ill., couv. ill. en coul. |
Format | 17 cm |
ISBN | 978-2-03-588106-9 |
Langue d'édition | français |
Langue d'origine | anglais |
Sujets | Policier |
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Contient :
Le récit de Double Assassinat dans la rue Morgue traite d'un crime commis dans un quartier populaire de Paris, au début du XIXe siècle. Une jeune fille et sa mère qui vivaient recluses ont été sauvagement assassinées, sans mobile apparent. L'action de La Lettre volée se déroule aussi à Paris. Une lettre d'une importance capitale est dérobée à une femme de haut rang qui se retrouve ainsi dans une position très embarrassante. Les dossiers pédagogiques mettent l'accent sur le genèse de l'oeuvre et d'un style: les goûts de l'époque sur les romans, les contes qui exaltent le sensationnel, l'artifice et le baroque, le mystère et l'irrationnel. La modernité de Poe est mise en exergue: en écrivant des contes, qui s'inspirent moins de roman noirs, qu'ils ne restituent les monologues intérieurs.
Notes : Bibliogr., filmogr. p. 174-175
Le récit de Double Assassinat dans la rue Morgue traite d'un crime commis dans un quartier populaire de Paris, au début du XIXe siècle. Une jeune fille et sa mère qui vivaient recluses ont été sauvagement assassinées, sans mobile apparent. L'action de La Lettre volée se déroule aussi à Paris. Une lettre d'une importance capitale est dérobée à une femme de haut rang qui se retrouve ainsi dans une position très embarrassante. Les dossiers pédagogiques mettent l'accent sur le genèse de l'oeuvre et d'un style: les goûts de l'époque sur les romans, les contes qui exaltent le sensationnel, l'artifice et le baroque, le mystère et l'irrationnel. La modernité de Poe est mise en exergue: en écrivant des contes, qui s'inspirent moins de roman noirs, qu'ils ne restituent les monologues intérieurs.
Notes : Bibliogr., filmogr. p. 174-175
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